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Sur relation entre notoriété et soucis mentaux il existe aussi une autre conjecture. Dans individus « connues », une grande quantité sont dits passiones. C’est le cas par exemple du sculpteur Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du couturier Jean-Paul Gautier. Il est la vérité que l’imagination est souvent combinée aux troubles mentaux, lien illustré particulièrement dans les biographies d’artistes illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont probablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( maladie dénommé aujourd’hui harcèle bipolaire ), John Nash, idéal algébriste était contaminé de schizophrénie, sebastien Verlaine était alcoolé, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait souffert d’accès psychotiques, etc.
Toutes les époques ont connu des idoles, ou des courageux qui ont été célébrés et réputés. En réalité, le mélange entre les activités considérables, les séjours, la richesse et l’existence privée remplie de vie de couple, de pandémie ou né créer une attirance intense. Les stars sont à la fois inaccessibles et proches, ce qui rend leur quotidien piquant. De plus, la élégance qu’ils représentent, entourés d’autres stars, ne fait que conserver cette surprise. Pour se joindre au fonction de , la gloire, de son en vie ou après sa défunt, doit suffisamment fasciner tout en restant près de son public. C’est principalement le cas avec les mythes hollywoodiens dont l’histoire, fréquemment parfaite, fait rêver.
Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston subsistait normal « de être assez de temps en temps auprès d’un médecin pour guérir les idées en place. » Mais elle se reprenait instantanément en parlant d’elle à la troisième personne : « N’écrivez pas que Jennifer Aniston est drole ! » etant donné que tout signe de fragilité, avouer une excitation mental, ponctuel ou éphémérides, voire une addiction, entache pratiquement une fois pour toutes une « bankabilité » et un irréfutable confiance auprès des garçonnière hollywoodiens. Pour preuve, la rouage inhumaine vécue par Downey Jr à la fin des années quatre vingt dix et largement relayée par les médias. Cinq années de narcotique, d’arrestations, d’emprisonnements, de thérapeutique et de rechutes à coup ont failli expédier d’Iron Man les abysses de Hollywood. C’est à son copain Mel Gibson, lui-même traditionnel des abus alcoolisés, que la de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier producteur, à l’année 2003, à accepter d’assurer Downey pour son rôle dans The Singing Detective.
Autre étape du développement, le phrase du sérac de Lacan, est le moment de se résliser tout entier dans son virtuel. L’enfant devant le parfait passe de l’image reflétée au regard parental et attend l’acquiescement de son consentement. Le regard de l’autre est basal de la manière dont on s’imagine soi. Ainsi convient-il de imiter pour construire qui l’on est. La star dans la rue interroge le passant pour savoir dans quel imaginaire elle se réalise. Ce que le passant renvoie est une vision d’un monde mode irréel. L’image reflétée par l’admirateur est souvent celle d’un cosmos. Le connu, dorénavant astronomique, évacue l’espace et devient une représentation surnaturelle de lui-même. Ce qu’il voit dans les regards contribue à le constuire à une autre échelle que celle de l’humanité.
Ça fait quoi d’être une ? «Un tort fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui gripper le rôle. Depuis 8 semaines, les de la descente aux enfers de la chansonnière star des années quatre-vingt-dix font la une de la presse guests. Sans domicile, criblée de crédits, la gloire élan dans les ruelle parisiennes, spumescent les chambres d’hôtel de la paris. Comment une chanteuse abondant a-t-elle pu se retrouver dans cette situation en tangent quelques années ? Contactée au téléphone dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques piste : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma infraction. Quand tu te fais prendre ou quoi que ce soit, le premier dénominateur commun, c’est toi».
La question est rigoureuse : pourquoi les personnes s’intéressent-ils aux vedettes ? Il doit me compromettre le gène qui rend enclin à découvrir des radiodiffusion télés et acheter des magazines guests ou à être embarrassé ce qui se passe entre Brad et Angelina, puisque je ne l’ai compris. Non, les stars ne m’intéressent pas vraiment; en revanche, j’aimerais réellement savoir pourquoi elles passionnent tant les personnes. Petit tour d’horizon des théories les plus utiles.
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